Lors de l’examen du PLFR au Sénat, j’ai alerté sur la situation des milliers de VT et taxi-motos.
Travailleurs indépendants, ils subissent de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire avec, notamment, la fermeture des aéroports.
Pourtant, dans le même temps, ils ne peuvent ni bénéficier de l’aide régionale, ni de prêts garantis par l’Etat.
Leur chiffre d’affaire étant quasi nul depuis le début de la crise sanitaire, ils ne parviennent plus à rembourser leurs prêts liés notamment à l’achat de leur véhicule.
Il est urgent d’agir pour remédier à cette situation catastrophique qui touche, en premier lieu, de nombreux jeunes travailleurs.
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