Le 16 mai, à l’occasion de la Journée internationale des Familles, à l’invitation du Premier ministre Gabriel Attal, j’avais le le privilège d’organiser une rencontre à l’Hôtel de Matignon où plus de 400 familles et enfants étaient présents, rassemblés autour des enjeux cruciaux de la mission « Parents solos ». Aux côtés de ma collègue Fanta Bérété et de la ministre Sarah El Hairy, nous avons présenté les avancées de notre mission gouvernementale sur la monoparentalité.

En effet, depuis mars, je suis activement engagé sur cette cause. Représentant 25% des familles françaises, les familles monoparentales sont une réalité sociale importante en France, et il est de notre devoir de répondre à leurs besoins spécifiques. Cette mission est essentielle pour améliorer leur quotidien et renforcer le soutien que nous leur offrons.

Nous avons souligné deux axes prioritaires de notre travail. Le premier consiste à collaborer avec les collectivités territoriales, les entreprises, et les acteurs du logement. Par le biais d’auditions et de tables rondes, nous travaillons à définir ensemble les priorités afin de bâtir des solutions concrètes. Ces partenaires sont indispensables pour comprendre les défis que rencontrent les familles monoparentales et pour y apporter des réponses efficaces.

Le second axe repose sur la création d’un comité consultatif composé d’experts et de parents solos. Ce comité est essentiel pour garantir que les décisions prises répondent aux réalités du terrain. En nous appuyant sur leurs témoignages et leur expertise, nous veillons à ce que les politiques publiques soient adaptées aux véritables besoins des familles.

Nous avons également présenté les 29 membres du comité consultatif, que nous avons choisis pour nous apporter leur expertise spécifique afin de mieux comprendre les enjeux du cadre actuel de la monoparentalité et de suggérer des pistes d’amélioration.

Cette mission s’articule autour de cinq grands piliers, que nous continuerons à développer en concertation avec toutes les parties prenantes. Il est de notre responsabilité de soutenir ces parents et leurs enfants, de veiller à ce qu’ils ne soient pas laissés pour compte, et de bâtir une société où chacun peut s’épanouir, quelles que soient les difficultés familiales.

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